Les Etats africains avaient organisés une section webinaire internationale ce 30 juillet dernier sous le thème « Agriculture en Afrique et flambée du prix des engrais : enjeux et perspectives ». Lors de cette section, les enjeux recueillis étaient les difficultés que rencontre l’agriculture africaine du point de vue des intrants agricoles, notamment les engrais. Telle que les engrais sont nécessaires à la revitalisation des sols, ils deviennent de plus en plus rares et ceci s’accompagne par un rehaussement des prix.
Dans le but de pouvoir s’adapter à ce nouveau tarif, les agriculteurs ont réduit drastiquement leur surface cultivable, d’autres ce sont livrer à une reconversion de culture en choisissant beaucoup plus les cultures demandant moins d’engrais. Dans cette perspective, un journal d’information sur l’agriculture africaine a organisé en collaboration avec le réseau des journalistes ladite section webinaire. A la réunion, des solutions ont été proposées notamment la production locale des engrais organiques. D’après l’agro-écologiste Ivoirienne Pascaline Yao « Il faut que l’agriculture africain produise lui-même son engrais organique. Si on arrive nous même à produire nos engrais à partir de ce qu’on a, ça nous permettra d’éviter un tant soit peu de subir tous ces coups extérieurs ».
La production locale d’engrais nous dirige vers une sécurité alimentaire et en même temps vers une agriculture durable car ceci permet de gérer durablement le sol et sa fertilité.
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