Le cotonnier est une plante (malvacée) tropicale herbacée ou ligneuse, cultivée pour ses graines oléagineuses et son fruit, couvert de poils cellulosiques, ou coton (Larousse.fr dictionnaires français).
En République de Guinée, la culture du coton est pratiquée dans la Région de la Haute Guinée, surtout dans la contrée de Kankan.
Le pays produit environ entre 7.000 à 8.000 Tonnes de coton par année.
Dans la zone ouest africaine, les pays leaders dans la production de cette culture, sont entre autres le Mali et le Benin.
La société française GEO-COTON, est celle qui rachète la production en Afrique de l’ouest, le plus souvent.
Le prix du coton est côté en bourse, avec une valeur fixée depuis la bourse de Londres, en Grande Bretagne.
Quelques fois, le prix de la tonne de coton à l’état brut, se négocie autour de 500 FCFA.
Le procédé à travers lequel on sépare la graine du coton, est appelé ‘’engrenage’’.
La graine du cotonnier est très prisée, en République de Guinée, elle est transformée, et rentre dans la fabrication de l’huile, comme l’arachide.
L’huilerie de Dabola, reçois très souvent des graines provenant des plantations de coton de Kankan, dans le cadre de cette transformation.
En Guinée, l’Etat subventionne le secteur à coût de milliards afin de soulager les producteurs.
Selon une information de nos échanges avec un acteur de la filiale, intervenant entre la Guinée et le Mali, la différence est que dans ce dernier pays, la culture étant effectuée à grande échelle, plus de 23 % de la population y tirent leurs revenus soit un chiffre avoisinant les 4 millions d’habitants
Il faut retenir que le coton est un produit très convoité, en tant que matière première de plusieurs catégories d’unités industrielles, qui sont entre autres : l’alimentation, le textile, les produits cosmétiques et autres, et la demande est à date de plus en plus croissante.
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