Tous les géants de l’économie mondiale ne se sont pas réveillés un jour pour devenir aussi grands. Leur industrialisation et leur richesse subséquente sont venues après de nombreuses années d’études et d’essais. Un pays qui a surpris la plupart de ces géants depuis quelques années est la Chine. Leur niveau de croissance économique est époustouflant. Cela peut être associé à l’industrialisation.
L’Afrique est perçue comme le continent noir où la pauvreté est si normale en raison de peu ou pas d’investissement dans l’industrialisation. Nous ne faisons que présenter nos produits agricoles bruts sur le marché mondial tels qu’ils sont, sans même nous efforcer de les transformer un peu pour leur ajouter de la valeur. Des pays comme la Côte d’Ivoire et le Ghana devraient être riches maintenant puisqu’ils produisent beaucoup de cacao sur le marché mondial. Cependant, comme ces fèves de cacao n’ont que peu de valeur à l’état brut, elles ne gagnent que très peu sur le marché international. Il est donc nécessaire que l’Afrique adopte l’industrialisation pour surmonter sa pauvreté.
TIAST West Africa est arrivé pour rendre cela possible. Quand on signe pour le paquet TIAST, une usine sera mise en place par des ingénieurs chinois. Toutes les installations et maintenance seront pris en charge par ces gourous. Comme si cela ne suffisait pas, pour chaque usine qui sera mise en place, vingt à trente ressortissants dudit pays africain qui travaillent dans l’usine seront formés par ces ingénieurs chinois. Cela continuera jusqu’à ce que ces nationaux soient en mesure de saisir les mystères derrière les opérations dans l’usine.
On s’attend à ce que les apprentis, quand on les forme, forme aussi beaucoup d’autres personnes. Imaginez le nombre de personnes qui se verront confier ces secrets à l’industrialisation de produits agricoles comme le manioc si une dizaine d’usines sont installées dans une zone rurale en un an ? Multiplier ce nombre par le nombre de personnes qui seront formées dans d’autres régions du pays nous donnera un nombre énorme !
Cela encouragera beaucoup de jeunes à s’intéresser à l’étude des sciences et de la technologie. Lorsque cela se poursuivra pendant quelques années, disons la prochaine décennie, le récit de la pauvreté en Afrique changera. Rassemblons-nous et engageons-nous à souscrire au paquet TIAST parce que nous devons partir de quelque part pour être en mesure d’atteindre ce grand objectif.
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