Des scientifiques élaborent des mesures pour réduire l’utilisation intensive d’engrais chimiques

« Les microbes transforment les 80% d’azote N2 dans l’atmosphère en ammoniac métabolisable ».

L’agriculture pourra nourrir 10 milliards de personnes même si la célèbre revue scientifique Nature réduit l’utilisation des engrais azotés.

La semaine dernière, des chercheurs internationaux, analysant plus de 1 500 enregistrements de terres cultivées dans le monde, ont présenté 11 réformes nécessaires de toute urgence pour réduire la pollution par les engrais, sans sacrifier les rendements.

Selon les scientifiques, « les bénéfices de la réduction de la pollution azotée agricole sont environ 25 fois supérieurs aux coûts de mise en œuvre de ces mesures, estimés par l’étude à 34 milliards de dollars par an ».

L’AFP explique que les dérivés réactifs de l’azote sur la santé, le climat et l’environnement sont très nombreux, qu’il faut donc réduire dans tous les milieux, tous les impacts du dérivé azoté.

Les impacts sont multiples et polissent l’atmosphère comme le sol. La mise en place du système de crédit azote permet néanmoins aux agriculteurs de les subventionner lors de l’adoption de techniques innovantes.

Parlant de la véracité des faits, l’utilisation intensive des engrais chimiques s’est redressée pour multiplier par quatre la population humaine au cours de ces décennies.