Selon l’Institut international de recherche sur les politiques alimentaires (IFPRI), bien que l’irrigation en Afrique ait le potentiel d’augmenter la productivité agricole d’au moins 50 %, la production alimentaire sur le continent est presque entièrement alimentée par la pluie.
« La superficie équipée pour l’irrigation, actuellement un peu plus de 13 millions d’hectares, ne représente que 6 % de la superficie totale cultivée », précise l’IFPRI.
Avec l’augmentation de la population africaine, les investissements dans l’irrigation devraient être accrus afin de nourrir cette population croissante.
Des investissements accrus sont nécessaires tant dans l’irrigation que dans d’autres techniques de gestion de l’eau agricole, en utilisant un large éventail d’infrastructures, des plus grandes aux plus petites.
Pour s’assurer que les avantages profitent aux personnes défavorisées, en particulier aux femmes, les investissements doivent être ciblés.
Le lien entre l’irrigation et les services écosystémiques fournis par les paysages agricoles doit être pris en compte.
Les commentaires sont fermés.