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L’étude agroécologique à l’Université de Zimbabwe

Une bonne rentabilité des produits agricoles dépend du sol sur lequel est cultivé la plante, une faible disponibilité des nutriments des sols devient la cause des mauvais rendements agricoles en Afrique-saharienne.

 Pour augmenter les rendements des terres agricoles, l’Université du Zimbabwe et le Cirad fait des études pour démontrer comment il est possible d’augmenter les rendements tout en contenant la production des puissants gaz à effet de serre. Lors de ces études, deux cultures de maïs ont été mise à l’épreuves. Une culture de maïs reçoit une triple dose d’engrais minéral par rapport à la moyenne actuelle régionale.

Cette pratique a été observé pour différente sols agricoles. GIEC constate que les secteurs agricoles, forestiers et autres utilisations des terres sont responsables de 81% des émissions de protoxyde d’azote. La question nouvelle qui se pose est si les nouvelles pratiques agricoles de conservation des sols permettent de limiter les émissions des GES lors de la culture du maïs.

L’université de Zimbabwe en collaboration avec ETH Zurich et CIMMYT évaluent cette éventualité et exposent des conclusions en clarifiants que les émissions cumulées de N2O sont très faibles entre 150 et 400 g par hectare par an et la dose appliquée en 60 kg d’azote/ha/an est trois fois plus supérieure à celle habituellement utilisée dans la région.

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